L’été n’est plus meurtrier. Mais il reste imprévisible.
Mais en 2023 et 2024, les chiffres racontent une autre histoire. Les décès estivaux sont en nette baisse. Une bonne nouvelle, bien sûr. Mais une accalmie en trompe-l’œil : car les imprévus, eux, n’ont pas disparu.
Moins de décès, plus de vigilance
Ce retournement n’est pas dû au hasard. Il reflète des campagnes de prévention efficaces et une meilleure anticipation sanitaire :
Les municipalités ont renforcé les visites à domicile auprès des personnes âgées isolées.
Des alertes météo déclenchent désormais des SMS automatiques pour prévenir les risques de canicule.
Les messages sur l’hydratation, les ventilateurs, l’importance de "garder le lien", sont plus visibles et mieux relayés.
En parallèle, les urgences sont désormais mieux équipées pour gérer les coups de chaud et les décompensations.
Mais l’été reste une saison à part
Et c’est là que les difficultés commencent. Chez Obsèques Impayées, nous observons chaque été :
Des obsèques organisées à la hâte, faute d’avoir retrouvé les volontés ou les contrats du défunt.
Des frais avancés sans tiers clairement identifié.
Des dossiers funéraires non soldés, notamment chez les opérateurs ou les collectivités locales.
Autre réalité souvent ignorée : la noyade reste l’une des premières causes de décès accidentel en été, avec près de 1 000 morts chaque année selon Santé Publique France. Les pathologies cardiovasculaires ne prennent pas de congés non plus, au contraire : elles augmentent légèrement en période de chaleur.
L’été change, nos réflexes doivent suivre
Pour en savoir plus sur nos services funéraires spécialisés : obsèques-impayées.fr
Vous souhaitez nous confier un dossier ? Contactez-nous via le formulaire : www.df-recouvrement.fr/contact
Mieux vaut prévoir. Même quand le thermomètre est au beau fixe.